Même s'il connaît actuellement de véritables problèmes de place disponible, notre Musée constitue par la richesse et l'originalité de ses collections, un légitime objet de fierté pour tous les soldats de marine. Il est cependant un domaine qui à mon avis représente sa plus forte originalité et dans lequel nous pouvons facilement progresser, c'est celui de son centre d'histoire et d'études des Troupes d'Outre-Mer, le CHETOM, qui sera l'objet de cet éditorial.
Le fonds documentaire du CHETOM est riche de 6000 volumes reliés, 13663 documents référencés et 800 cartons d'archives. Ce fonds, qui complète les collections du Service Historique de l'armée de terre commence à être connu et à faire le bonheur des chercheurs en histoire. Parfait prolongement des collections du musée, il permet de faire vivre, pour les générations futures, l'histoire des Troupes de Marine.
Ce patrimoine peut encore être enrichi à peu de frais, grâce à un effort collectif, ce qui permettra peut-être de sauver de la perte ou de l'oubli des documents uniques qui dorment au fond de vos cantines.
Le CHETOM est intéressé par tous les documents présentant un intérêt pour l'histoire des Troupes de Marine, qu'il s'agisse de la grande histoire ou tout simplement de la vie outre-mer. Je peux citer les cartes d'Afrique du Nord, d'Afrique Noire et d'Extrême Orient, les ordres et compte-rendus d'opération, les photos et cartes postales anciennes avec légendes, tous les documents d'état-major surtout ceux qui ont été annotés et permettent de reconstituer les prises de décision, les récits originaux, les lettres de combattants, les chants, les dessins humoristiques, les anciennes monographies du CMIDOM dont bien peu existent encore aujourd'hui (1)…mais cette liste n'est pas exhaustive. N'oubliez pas si vous avez le temps, de rédiger pour les futurs chercheurs une courte fiche permettant de replacer le document dans le contexte de l'époque et d'expliquer les acronymes qu'il contient.
Bien entendu, ces documents seront soumis aux mêmes règles de protection que tous les autres documents déjà détenus, 50 années pour les documents classifiés et 100 ans pour les documents dont la communication est de nature à porter atteinte à la sécurité de personnes nommément désignées ou facilement identifiables.
N'hésitez pas à contacter l'AAMTDM à ce sujet, car l'association peut vous aider à copier les documents que vous souhaiteriez conserver et si vos archives sont trop volumineuses, il sera toujours possible d'organiser une mission en véhicule pour venir les récupérer. Ensemble nous ferons progresser la richesse de notre Arme… …pour que, au nom de Dieu, vive le musée de la Coloniale… !
Le fonds documentaire du CHETOM est riche de 6000 volumes reliés, 13663 documents référencés et 800 cartons d'archives. Ce fonds, qui complète les collections du Service Historique de l'armée de terre commence à être connu et à faire le bonheur des chercheurs en histoire. Parfait prolongement des collections du musée, il permet de faire vivre, pour les générations futures, l'histoire des Troupes de Marine.
Ce patrimoine peut encore être enrichi à peu de frais, grâce à un effort collectif, ce qui permettra peut-être de sauver de la perte ou de l'oubli des documents uniques qui dorment au fond de vos cantines.
Le CHETOM est intéressé par tous les documents présentant un intérêt pour l'histoire des Troupes de Marine, qu'il s'agisse de la grande histoire ou tout simplement de la vie outre-mer. Je peux citer les cartes d'Afrique du Nord, d'Afrique Noire et d'Extrême Orient, les ordres et compte-rendus d'opération, les photos et cartes postales anciennes avec légendes, tous les documents d'état-major surtout ceux qui ont été annotés et permettent de reconstituer les prises de décision, les récits originaux, les lettres de combattants, les chants, les dessins humoristiques, les anciennes monographies du CMIDOM dont bien peu existent encore aujourd'hui (1)…mais cette liste n'est pas exhaustive. N'oubliez pas si vous avez le temps, de rédiger pour les futurs chercheurs une courte fiche permettant de replacer le document dans le contexte de l'époque et d'expliquer les acronymes qu'il contient.
Bien entendu, ces documents seront soumis aux mêmes règles de protection que tous les autres documents déjà détenus, 50 années pour les documents classifiés et 100 ans pour les documents dont la communication est de nature à porter atteinte à la sécurité de personnes nommément désignées ou facilement identifiables.
N'hésitez pas à contacter l'AAMTDM à ce sujet, car l'association peut vous aider à copier les documents que vous souhaiteriez conserver et si vos archives sont trop volumineuses, il sera toujours possible d'organiser une mission en véhicule pour venir les récupérer. Ensemble nous ferons progresser la richesse de notre Arme… …pour que, au nom de Dieu, vive le musée de la Coloniale… !
Général (2S) PhilippeTRACQUI